L’établissement d’un contrat de gestion immobilière est une nécessité pour les propriétaires de maison et les agences de gestion. En effet, il s’agit d’un document rédigé pour protéger les intérêts des deux parties. Restez avec moi dans cet article pour savoir davantage.
Les implications de l’agence et du propriétaire.
Généralement, un bon contrat de gestion immobilière définit obligatoirement des conventions. Ce sont souvent les attentes des parties prenantes du contrat. Ainsi, découvrez ici les éléments qui incluent les uns et les autres. Dans un contrat, il existe deux clauses. Celles qui assurent les restrictions du propriétaire. Autrement dit, le contrat limite à la normale la responsabilité du détenteur des biens. On parlera ici de la clause du non responsabilité. C’est une clause qui évite les dérives qui peuvent subvenir du propriétaire et protège en même la société qui gère l’immobilier. Et pour garantir ses biens, la clause de diligence raisonnable doit être aussi initiée par le propriétaire. Ceci juste pour sa protection.
La mise en évidence des frais et services.
A l’issu du contrat, le document doit prendre en compte la notation du budget total prévisionnel axé sur les frais et les services. Néanmoins, au cas où ledit contrat prend en compte uniquement les frais de gestion, il revient au propriétaire d’en demander le coût des services. Par ailleurs il est déconseillé au propriétaire de faire des suppositions sur les différents services impliqués. Cependant, le règlement des factures, la perception des loyers, la réception et l’expulsion du locataire, le choix des locataires, la publicité, l’entretien de l’immeuble et l’établissement du contrat de bail sont les différents services qui sont en charge de la société de gestion de l’immobilier.
L’assurance de la responsabilité.
Pour qu’un contrat soit bien exécuté, il est important que chacune des parties respectent et soutiennent rigoureusement son engagement. Cela permettra d’éviter les discriminations et les poursuites judiciaires avant la fin du contrat.
En fin, il faut noter que la durée minimum d’un contrat digne est de 12 mois. Toutes fois cette durée peut aller au-delà suivent l’accord des parties prenantes.